Description

Tous les chemins mènent au jardin - Spectale, conte et musique La chemise du jardinier, le pissenlit, la petite bassine percée..., autant d’histoires qui ont germé dans le jardin de Raphaël. Petit à petit elles ont poussé et se sont mêlées aux mélodies végétales de Nikolaus. Ce jardinier de son vous enivre avec ses instruments comestibles: Flûrotte à bec, Dudukoncombre et autres Clauberginettes... Les timbres insolites de sa Contre-bêchassine et les gammes étranges du Saxorrosoir, s’entrelacent savoureusement aux paroles et aux chants.   Le spectacle s'accompagne de deux ateliers au choix : Lutherie végétale Démonstration de fabrication d'instruments à partir de fruits et légumes et d'outils de jardin : exemples : – flûte à bec en carotte, duduk enconcombre, avec participation des enfants. – la contre-bêchassine (instrument insolite à partir d'une bêche, d'une bassine et d'une corde de contrebasse). Création collective basée sur les propositions rythmiques et mélodiques de chacun, composition de boucles sonores à l’aide d’un sampleur qui superpose les différentes propositions des enfants. Se créent ainsi des mélodies, des bruitages, des paysages sonores liés au jardin et à la forêt.   Atelier d'initiation à l'art du conte Retour sur l'histoire contée sous la yourte durant le moment de spectacle ouvert à tous, en se remémorant, en reformulant ce qui vient d’être dit comme un souvenir ou bien un rêve. – Exercices ludiques d’expressions orales : exercices d’écoute, d’articulation, chercher à voir, à visualiser une histoire. – Exercices d'expressions corporelles (gestuelle, déplacement, rythme …), entraînement à l’improvisation parlée, à l’imagination. – Restituer la trame, se souvenir de la situation initiale, retrouver l’événement perturbateur, la situation finale qui constituent la chaîne du récit. « Reformuler oralement une histoire entendue une seule fois, ou reformuler à partir d’une trame donnée est un engagement de la personne entière. L'enfant conteur sait redire l'histoire avec ses propres mots. La fonction du souvenir l'aide à travailler sa mémoire. L'oubli même est source de création, re-création, transformation de l'histoire. Le conte raconté est un deuxième conte différent du premier. Ainsi la tradition orale reste vivante »